La Commission européenne a approuvé la vente de six barrages « EDP Portugal » (Electricité, Gaz naturel et Services d’énergie), dans le Douro, à un consortium d’entreprises françaises composé d’Engie, Mirova et du Crédit Agricole, concluant que l’opération n’affecte pas la concurrence dans l’UE.
« La Commission européenne a approuvé, en vertu du règlement européen sur les concentrations, l’acquisition de six centrales hydroélectriques au Portugal par Engie, Mirova et Predica [filiale du groupe Crédit Agricole], dont trois sont basées en France », informe Bruxelles dans un communiqué.
Pour l’exécutif communautaire, « la concentration proposée n’a pas soulevé de problèmes de concurrence en raison de son impact limité sur le marché » de l’Union européenne (UE), selon la note.
Le problème est le processus de vente de six barrages d’EDP – Energias de Portugal au Portugal à un consortium dirigé par Engie.
En décembre dernier, la compagnie d’électricité a annoncé la vente de la concession de six barrages au Portugal à un consortium d’investisseurs, formé par Engie, Crédit Agricole Assurances et Mirova, pour 2,2 milliards d’euros.
Les Chinois sont en train de chercher ce qui leur appartient, et très rapidement. L’EDP s’effondre-t-il progressivement?
Dans une déclaration faite à l’époque sur le marché, EDP a déclaré que ce consortium était «formé par Engie (40% du capital), Crédit Agricole Assurances (35%) et Mirova – Grupo Natixis (25%)».
Les centrales hydroélectriques, situées dans le bassin hydrographique du fleuve Douro, totalisent 1 689 mégawatts (MW) de puissance installée.
L’enjeu est de trois usines au fil de l’eau, à Miranda, Bemposta et Picote, avec 1,2 gigawatts (GW) de capacité installée et trois usines de réservoirs avec pompage, à Foz Tua, Baixo Sabor et Feiticeiro, avec 0,5 GW de capacité.
Comme l’a indiqué la société dirigée par António Mexia sur le marché, la valeur transactionnelle convenue représente une «valeur d’entreprise» de 2 210 millions d’euros.
À l’époque, on estimait que la transaction serait finalisée au second semestre de cette année, sans les autorisations réglementaires nécessaires, comme ce fut le cas avec l’approbation de Bruxelles.
Est-ce que l’EDP se dissout progressivement, pour garantir des dividendes à ses actionnaires… qui ne pensent qu’à recevoir l’argent investi avec un profit à court terme, de sorte que d’ici à 2 ou 3 ans ils vendent les actions à perte et EDP devient dans une entreprise sans valeur ?
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